Prolifq
Des crédits carbone à la hauteur des enjeux climatiques.

Adoptez une nouvelle approche de l’investissement environnemental avec Prolifq. Grâce à la blockchain et aux NFT carbone, chaque action est traçable, ancrée dans le réel et tournée vers la préservation des écosystèmes. Une réponse fiable à un défi planétaire.

  Actualités
Crédits carbone NFT certifiés Prolifq sur la blockchain
Déforestation causée par les industries émettrices de carbone

Les crédits carbone traditionnels sous le feu des critiques.

Manque de transparence, impact non vérifiable, risques de greenwashing. Les crédits carbone classiques suscitent une méfiance croissante. Les investisseurs exigeants appellent à une transformation du modèle.

Quels sont les secteurs les plus polluants ? Voici une estimation de leurs parts dans les émissions mondiales :

  • Production d'électricité et de chaleur

  • Agriculture, sylviculture et usage des terres

  • Industrie

  • Transports

  • Bâtiments résidentiels et commerciaux

  • Déchets et eaux usées

Différents gaz à effet de serre et leur pouvoir de réchauffement

Tour d'horizon des gaz à effet de serre.

CO₂ : issu des énergies fossiles et de la déforestation. Il persiste plusieurs siècles dans l’atmosphère.

CH₄ : 25 fois plus réchauffant que le CO₂. Provient de l’agriculture et des décharges.

N₂O : 300 fois plus puissant que le CO₂. Émis par les engrais et l’industrie chimique.

HFC : utilisés dans la climatisation. Leur impact peut dépasser 1 000 fois celui du CO₂.

PFC : sous-produits de l’aluminium. Ils restent plusieurs milliers d’années dans l’air.

SF₆ : le plus puissant de tous. Présent plus de 3 000 ans dans l’atmosphère.

Secteur énergétique : premier émetteur mondial de carbone

Le secteur énergétique en première ligne des émissions mondiales.

Charbon, pétrole, gaz naturel, leur combustion alimente nos sociétés mais intensifie le réchauffement global. Le secteur énergétique concentre plus de 30 % des émissions mondiales.

Les émissions fugitives (fuites lors de l'extraction ou du transport) aggravent encore ce bilan. Invisible mais omniprésente, cette pollution appelle des solutions de détection et de réduction ciblées.

Procédés industriels et super polluants à très fort potentiel de réchauffement

L’industrie lourde engendre des émissions massives et durables.

Production de ciment, métallurgie, chimie, ces secteurs rejettent des gaz à fort pouvoir réchauffant, liés à leurs réactions chimiques, indépendamment de l'énergie utilisée.

Les gaz fluorés comme le SF₆ ou les HFC sont jusqu’à 23 500 fois plus puissants que le CO₂. Réduire ces émissions nécessite des alternatives industrielles et une réglementation adaptée.

Solvants industriels et émissions de COV

Les solvants industriels, une pollution discrète mais persistante.

Composés organiques volatils (COV) émis par des produits courants (peintures, encres, détergents). Ils contribuent à la formation d’ozone troposphérique, nocif pour le climat et la santé.

Réduire ces émissions passe par l’innovation comme des produits à faibles émissions, pratiques plus sobres, avec des réglementations spécifiques à chaque usage.

Émissions de méthane dans l’élevage intensif

L'agriculture moderne entre sécurité alimentaire et climat.

Méthane des ruminants, oxyde nitreux des engrais, CO₂ des pratiques culturales... l’agriculture concentre une triple menace climatique, souvent invisible mais bien réelle.

Face à ce dilemme, l'enjeu est de concilier productivité agricole et réduction des émissions via des pratiques agro-écologiques adaptées.

Décharges émettant du méthane et traitement des déchets à améliorer

La pollution cachée des déchets et eaux usées.

Les décharges émettent du méthane pendant des décennies si aucun système de captage n’est mis en place. Ce biogaz pourrait pourtant être valorisé.

Les stations d’épuration génèrent également des gaz à effet de serre. L’incinération, quant à elle, rejette directement du CO₂. Des solutions existent pour limiter ces impacts, à condition d’investir durablement.

Faisons une pierre deux coups...
Et si votre investissement pouvait capter du CO₂, tout en préparant votre avenir financier ?

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